Nous arrivâmes au café dit « de France » dont les murs étaient ornés, pour l'occasion, de tissus africains
Une tablée nous attendait et le repas africain annoncé nous faisait déjà rêver.
Après une entrée succulente (samossa etc)
Nous nous « mîmes » au djembé sur une petite estrade placée au centre de la salle.
Anani, comme d'habitude, nous menait d'une main de maître interpellant, de temps à autre, Charly le « patron » qui répondait, à chaque fois, par un « alleluia » très « haendelien ». Il était aidé de sa compagne et de sa soeur, deux femmes précieuses car n'ayant pas, apparemment, « les deux pieds dans le même sabot ». Le plat principal et la brochette de fruits exotiques ayant été dégustés avec plaisir, nous rejoignîmes nos percussions et tapâmes dessus assez fort pour que les muscles des bras commencent à fatiguer. Mais un groupe nous remplaçait déjà sur la scène : guitariste, clarinettiste (ou peut-être joueur de saxophone soprane), joueur de djembé plutôt
étonnant...et de nouveaux arrivants remplirent bientôt le lieu.
Que dire de cette soirée ?
Ce fut un régal pour les papilles et les oreilles !
Même les bancs se révélèrent sympathiques pour un somme et, surprise ?, le
cuisinier, en plus de son talent aux fourneaux, se révéla un chef au djembé !
Marie
